• Les Aristochats

    "Naturellement les Aristocats"

    Les AristochatsParis, 1901. Madame de Bonnefamille est une élégante vieille dame qui vit dans son hôtel particulier en compagnie de ses quatre chats : Duchesse, la mère, ses trois chatons, et d'un homme à tout faire, Edgard.

    Madame convoque un jour son notaire pour lui parler de ses dernières volontés : lorsqu'elle quittera ce monde, les chats hériteront de tout ce qu'elle possède ; Edgard sera chargé de veiller au bien-être des félins, avant d'hériter à son tour des restes de la fortune à la disparition du dernier chat...Bien entendu, le majordhomme (qui a eu vent de la nouvelle) n'apprécie que fort peu cette disposition. Une seule chose à faire, se débarasser des matous...

    LES ARISTOCHATS est une production Disney de 1970. Dépeignant un Paris de carte postale, comme l'aime les américains, il met donc en scène les mésaventures de Duchesse et de sa progéniture, égarés en pleine campagne par un Edgard mal intentionné. Heureusement, un chat errant, Thomas O'Malley, rouquin beau parleur et un rien dragueur, va aider la petite famille à rentrer au bercail et tomber amoureux de la jolie chatte.

    Certains personnages du DA sont hauts en couleurs : ainsi, les deux oies anglaises, Amélie et Amélia Jackass, charmantes vieilles filles faisant le tour de France "à pattes et de temps en temps à la nage", et leur oncle Waldo, un vieux jars qui a "mariné" dans le cognac avant de fuir le réstaurant où il devait finir à la casserole !

    Egalement au programme, deux chiens de fermes un peu trop zélés, une bande de chats "jazzy", les Scat Cats, amis de O'Malley, et surtout une petite souris, Roquefort, habitant discret de la maison Bonnefamille, amie de longue date de Duchesse et des chatons, qui préfigure les futurs Bernard et Bianca, ainsi que Basil.

    Les trois chatons sont des reflets de certains artistes : ainsi,Les Aristochats la jolie Marie est une chanteuse (réference à la Callas, peut-être ?), Toulouse le rouquin un peintre, et Berlioz, comme il se doit, un pianiste émérite.

    Comme de bien entendu, le film se finira bien, le méchant Edgard sera châtié comme il se doit et notre chatte "mère célibataire" aura un compagnon pour veiller sur elle et sa famille. De plus, la charmante Madame de Bonnefamille va changer son testament au profit d'une société de protection des chats errants de Paris, qu'elle vient de créer...

    A noter que le générique du début est chanté par Maurice Chevalier "himself", et sera reprit plus tard par Henri Salvador.

      Les Aristochats

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  • Commentaires

    1
    Burt
    Vendredi 22 Février 2013 à 01:38

    Val, ton résumé me donne vraiment envie de voir ce DA très prochainement, et de pouvoir aussi entendre chanter Maurice Chevalier, ce géant du Music-hall; Yop la boum!

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